top of page
Rechercher
Pierre Sedze

International webconference on mobility challenges


La chaire Armand Peugeot (CentraleSupélec & ESSEC Business School), la chaire Energie et Prospérité (Institut Louis Bachelier, Fondation du Risque) et la chaire Economie du Climat (Université Paris-Dauphine) organisaient lundi 14 décembre une journée consacrée à l'impact de la crise sanitaire sur la décarbonation des transports. J'ai animé la seconde conférence où industriels et observateurs étaient invités pour donner leur vision sur le sujet.


Au début de la crise sanitaire en mars 2020, 3,4 milliards de personnes étaient confinées, ce qui représente 43% de la population mondiale. Il y a eu toute sorte d’estimations, oscillant entre 2 et 4 milliards de personnes confinées. Une chose est certaine, les villes et mégalopoles ont toutes été sommées de vivre à l’arrêt ce qui a provoqué un effet positif sur l’environnement avec une décarbonation accrue. Le gouvernement français avançait au printemps 2020, à la sortie du premier confinement, un chiffre de 30% de réduction de gaz à effet de serre. Selon une étude de l’Association Nationale pour le développement de la mobilité électrique, 157 840 véhicules électriques ont été mis à la route, soit 95 000 de plus qu’à la même période qu’en 2019 avec un taux d’achat chez les particuliers en 2020 de + 200% versus année 2019.


Intervenants :

Nicolas Beaumont (Vice Président développement durable at Michelin)

Marc Antoine Eyl-Mazzega (Directeur Energie et Climat à l’Institut Français des Relations Internationales IFRI)

Cécile Goubet (Déléguée Générale Association Nationale pour le Développement de la Mobilité Electrique AVERE France)

Jean-Baptiste Pernot (Directeur des opérations ACC)

Laurence Debrincat Directrice Prospective et Etudes (Ile de France Mobilité)




48 vues0 commentaire

Comments


bottom of page